Documents-ressources pour la présentation et la mise en débat de la démarche ergologique
Présentation des vidéos sur la démarche ergologique par Louis Durrive.
En 1999 et 2000, des professionnels et des universitaires se sont mis d’accord pour créer un outil de formation à distance à partir des enseignements APST à Aix-en-Provence, autour d’Yves Schwartz. Ce projet a été porté par le département d’ergologie de l’Université de Provence (aujourd’hui AMU) et une association d’insertion professionnelle, l’Atelier à Strasbourg – et financé par le Fonds social européen. Le résultat a été une vingtaine d’heures d’enregistrement avec différents membres de l’équipe APST interviewés par Marcelle Duc, Christine Noël et Louis Durrive.
Cet enregistrement a ensuite été retranscrit sous forme de livre : Travail et ergologie, paru aux éditions Octarès en 2003.
Par ailleurs, le service audio-visuel de l’Université de Strasbourg a accepté d’héberger ces vidéos depuis 2012 sur son site POD-Unistra. Cependant il a fallu découper ce contenu pour le rendre manipulable en documents d’une quinzaine de minutes environ. De cette façon, chacun peut prendre connaissance avec la démarche ergologique en choisissant sa porte d’entrée. L’intérêt de la vidéo par rapport au livre qui reprend le même texte, c’est que l’image recrée en partie l’ambiance des rencontres avec les protagonistes de la grande aventure APST. De plus, la vidéo se prête à une réflexion de groupe. Chaque vidéo peut être téléchargée.
Videos
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Séquence 1: Qu’est ce qui change dans le travail? |
Séquence 2: Le changement du point de vu des gens concernés |
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Séquence 3: L’ergologie c’est l’apprentissage des débats de normes |
Séquence 4: Le changement est à considérer au niveau macro et au niveau micro |
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Séquence 5: Le taylorisme et la question du rapport de l’homme au travail |
Séquence 6: un exemple en usine: travail prescrit, travail réel |
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Séquence 7: les 4 propositions d’une approche ergologique de l’activité |
| Séquence 1: Résistances aux changement ou complexité de la vie réelle des gens | Séquence 2: Parler de la résistance au changement, c’est éluder les vraies questions que pose ce changement |
| Séquence 3: Aller voir le travail de près pour poser les vraies questions | Séquence 4: Contexte de travail et vie singulière au travail |
| Séquence 5: Les questions de la sociétes si lisent au poste de travail | Séquence 6: Les entités collectives dans le travail réel |
| Séquence 7: Les enjeux d’une prise en compte de la renormalisation dans le travail |
| Séquence 1: A l’age de l’internet, quels rapports de l’homme à la technique? | Séquence 2: Pour être efficace, une technique doit être |
| Séquence 4: Les techniques s’inscrivent dans un dialectique sans fin: registre un et registre deux | Séquence 5: Créer des lieux de débat sur les enjeux du travail et les nouvelles façons de travailler |
| Séquence 6: ” Les ingédients de la compétence”: les trois premiers ingédients | Séquence 7: “Les ingédients de la compétence”: les trois derniers ingédients |
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Séquence 1: Les techniques déplacent le travail |
Séquence 2: Les techniques et la prise en compte du milieu de travail |
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Séquence 3: L’homme indispensable pour des techniques efficaces |
Séquence 4: Des techniques au service de l’homme, et non l’inverse |
| Séquence 1: Le langage et le travail: des rapports problèmatiques | Séquence 2: Langage ordinaire et langage distancé |
| Séquence 3: Limites et possibilités du langage | Séquence 4: Le langage et la question des compétances |
| Séquence 5: Langage et activité: une | Séquence 6: Trame et chaîne, une articulation dans l’activité |
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| Séquence 1: Langage, normes et valeurs | Séquence 2: Communiquer, c’est reconstruire partiellement avec sesinterlocuteurs, le sens des mots |
| Séquence 3: Favoriser la mise en mots de l’expérieuce | Séquence 4: Le langage: une activité dans l’activité |
| Séquence 5: A propos de l’auto-confrontation |
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Séquence 1: Il n’existe pas de travail de pure exécution:tout travail suppose une énigmatique “quelqu’un” |
Séquence 2: A propos de la motivation au travail |
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Séquence 3: “Corps soi”, usage de soi, souffrance au travail |
Séquence 4: Le rôle des émotions dans le travail; les débats de valeurs |
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Séquence 5: A la source de l’éfficacité, des collectifs aux contours variables dans le travail |
Séquence 6: Comment reconnaître une “entité collective relativement pertinente” en situation de travail? (première partie). |
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Séquence 7: Comment reconnaître une “entité collective relativement pertinente” en situation de travail? (deuxième partie) |
Séquence 8: Les enjeux d’une reconnaissance des “entités collectives relativement pertinentes” dans le travail |
| Séquence 1: Les conceptions sur la motivation du sujet au travail: un regard critique | Séquence 2: Au plan psychique, le travail est objet double social et personnel |
| Séquence 3: Le sujet au travail: de la scène sociale à la scène psychique, aller et retour | Séquence 4: Le sujet au travail est aussi un citoyen |
| Séquence 5: Exister comme un sujet au travail, c’est d’abord être reconnu comme porteur d’un point de vue |
| Séquence 1: La société moderne: un espace à trois pôles | Séquence 2: Comprendre notre histoire quotidienne dans l’espace tripolaire. |
| Séquence 4: La démarche ergologique dans un dispositif à trois pôles | Séquence 5: Produire des savoirs et transformer positivement nos vies, grâce à la .. |
| Séquence 1: Le travail et l’emploi: un regard d’économiste et un regard ergologique | Séquence 2 : L’activité porte en elle des alternatives |
| Séquence 3: Réinterroger les questions de l’emploi en fonction de ce qu’enseigne le… | Séquence 4: L’activité, creuset ou se retravaillent les valeurs du marché et de la cité |
Des documents-ressources comme des schémas, des figures ou des phrases récurrentes élaboré dans les séminaires d’Yves Schwartz ont été depuis plusieurs années utilisés comme outils pour la présentation et la mise en débat de la démarche ergologique. Dès lors que leur contenu apparaît relativement stabilisé et bénéficie d’une forme d’évaluation consensuelle, leur mise à disposition sur le site de la SIE devient une ressource de diffusion élargie.
Ces ressources fonctionnent comme des outils, nullement un mode d’exposition de la démarche ergologique. Chacun peut les utiliser à sa guise, selon les thèmes ou objectifs en débat. Mais ils ne sont pas autosuffisants, ils doivent être inscrits dans des parcours d’argumentation, d’explication et des renvois réciproques.
Champs, concepts, disciplines – Général
Champs, concepts, disciplines – Champs